La lèvre et la torture
Conte de l’abreuvoir
Il était une foi dans une galaxie (le subconscient de Réal : non, pas vrai, y recommence, c’est la guerre des étoiles ça, Réal)
Réal dit : OK, je me suis un peu mélangé
Être ou ne pas être où est ta victoire, moritorisé te salut tante (le subconscient de Réal : il est en manque de chocolat, je le dis) (l’inconscient de Réal : hi messieurs pas à peu près hein) (le conscient de Réal : bon je le prends en main)
Rien ne sert au sourire quand il y a le point (l’inconscient de Réal : un point virgule, un point de croix, un point à la ligne?) (le subconscient de Réal : le poing dans la figure moi je t’envoie l’incon) ( le conscient de Réal : c’est pas si pire que ça, personne ne comprend, mais c’est mieux)
Réal dit : je commence là, joulvert
La lèvre ayant gercé tout l’été se retrouva dans le feu sauvage (le subconscient de Réal : piouff, et on dit la langue de chez nous) (l’inconscient de Réal : moi je connais le New- Gercé aux états) (le subconscient de Réal : n’importe quoi l’incon, niaiseux)
Réal dit : vos gueules
Bon, je disais, la lèvre qui avait l’ellébore à purger (l’inconscient de Réal : il est sur l’ailé bord de se planter) (le subconscient de Réal : pas conscient tu es, gnochon) (l’inconscient de Réal : pas brillant toi non plus, je suis l’incon) (le conscient de Réal : vous dérangez Réal dans son écriture pas du monde)
Réal dit : merci le conscient
Bon, je disais donc
La lèvre qui avait l’ellébore à purger
Sitôt que moi ce but. - sitôt? Êtes-vous sage?
La lèvre n'avait que quatre maux à faire
(l’inconscient de Réal : gna gna il a triché en modifiant et copié) (le subconscient de Réal : c’est le manque de chocolat) ( le conscient de Réal : si la lèvre est gercée, elle a des maux, hein)
Réal dit : bon y comprends lui, hein
Bon, je disais,
La lèvre qui avait l’ellébore à purger
Sitôt que moi ce but. - sitôt? Êtes-vous sage?
La lèvre n'avait que quatre maux à faire
Et par le fait d’arpenter les langues
Pour vêtir un écourteur
Sans la torture, elle part, elle s'évertue
(l’inconscient de Réal : va vraiment falloir que je vive avec ça, moi) (le subconscient de Réal : ça a tout l’air) ( le conscient de Réal : c’est joli un écourteur) (l’inconscient de Réal : c’est quoi un écourteur, un écouteur écourté qui se vêt d’une oreille, pis la torture qui est une vertu…) ( le conscient de Réal : faudrait demander à Réal, hein, moi je pense que c’est la lèvre)
ah comme la lèvre a gercé ses maux sont un câlin sans l’ivre (l’inconscient de Réal : la lèvre qui se fait la lecture) (le subconscient de Réal : y-é-tu assez épais lui) (le conscient de Réal : soyez sage ou le doute heure)
Réal dit : je suis vraiment obligé de vivre avec vous-autres, moi, (soupir) je recommence
ah comme la lèvre a gercé ses maux sont un câlin sans l’ivre
ah si la lèvre du New-Jerçai aurait botox à son chevet (l’inconscient de Réal : un écrivain que je ne connais pas) (le subconscient de Réal : Alain Culte, tu connais tu, un écrivain de LongueHaleine (vieux Francois, Langue Duck), le pays de la Listerine et du canard qu’on fit) ( le conscient de Réal : je pense Réal que tu as mangé du chocolat suisse)
Réal dit : non non, quand on a la grippe, les médicaments affectent notre cerveau, les boules au Rhums, surtout
Bon, je recommence
Ma lèvre sur ta lèvre à partager ce feu
Que l’on dit si sauvage… (l’inconscient de Réal : Botox est un écrivain Russe…) ( le subconscient de Réal : ouais, si botox est un écrivain Russe, la liposuccion est une forme poétique que je ne connais point) (le conscient de Réal : une lobotomie, peut-être…)
Réal dit : à chaque fois que j’écris un texte érotique, ils sont fou. Voir si la lèvre a tant d’ivagination.
(l’inconscient de Réal : oui oui, ivagination est la matrice imaginaire de l’enfant culte en désespoir de l’instant passé tant le futur est antérieur à un simple baiser de la lèvre) ( le subconscient de Réal : Faut le calmer un peu le lui la. Oui Botox enfle parfois, dans sa langue judo tiensla tienne, il ceinture la chlamydia et susse tante…)
Réal dit : vous voyez, même mon conscient ne sait plus…
Ma lèvre sur ta lèvre à partager ce feu
Que l’on dit si sauvage…
Pourquoi tu hurles ainsi tu as un bobo là
Mais non mais non mais non, descend un peu plus bas
En espérant vous faire rire un peu