Dans le mois d’août
Fallait que ma reine, sue savoir que vent
A puisé semaine, voir devant l’étang
J’écrirai je t’aime, pour boiser ses ans
D’une plume plaine, sous chêne savant
J’avance
temps laine, voilà bien son rang
Vaine de ma veine, car mon cœur menant
Écrit sa neuvaine, pour être l’amant
D’une porcelaine, sous doigté d’antan
À tenir et je suis, présent à ma main
Issus de tout ce puits, serai l’an-demain
Pour être l’avenir, vouloir l’incertain
À prédire chemin, cela sans chagrin
Dans ses larmes venues, salées à la bouche
Doux si poils est velu, puiser à la souche
Par forêt tenue, sans dessous se couche,
La lune pendue, la branche si louche
et la nuit qui s’entend, au courant de vous
était un peu enfant, je vague, le nous
l’écorce pour le temps, pour nos deux cœurs fous
qu’on inscrit au printemps, dans le mois d’aoûtatouthasard