Un soir de l’une et l’autre
Pour faire l’amour, au cœur de l’être.
Ne plus
y voir notre semence,
En maquillant tout le non-être,
De nous savoir sans le jouir.
Étant vêtu si non toujours,
Que si petite et petit,
N’est si pas grand, sans l’ici.Pour faire le jour
De la vie.
Il a fallu des soirs de peines,
Pour qu’une fleur carde sa laine,
Si belles que sont demoiselles,
Il sont venus… les soirs de plaines.
L’étang pour dire,
Que les semaines,
Avaient des règles
À venir.Le mois courant : à définir.Si j’étais homme à me couvrir,
De mon enfance à ceux, qui puis-je.
Faire la chance
Au mot joueur.Il a fallu des soirs de laine,
Pour qu’une fleur carde sa peine,
Si belles que sont demoiselles,
Il sont venus, les soirs de pleines.
À vouloir temps : punir.S’attarder sans
y voir,
Un souvenir, une mémoire,
Une eau qui fuit, une eau de l’heure,
Instant violeur… de l’espoir.
De cet espace, qui sans
ailesAllait couvrir
Cette terre
À l’an jouir.Il a fallu des soirs de laine,
Pour qu’une fleur carde sa peine,
Si belles que sont demoiselles,
Il sont venus, les soirs de
scènes.Un soir de l’une et l’autre,
Encarté dans un journal.
La page sans devoir.
Avait une colonne
Pour chercher,
Lune d’un soir
Croisant le sort.
D’un soir de l’une et l’autre