aux chemins du courant.
Quand l’horloger du temps, reprise un univers,
il brode nos instants, car il a savoir faire.
Avec un chas d’aiguille et une laine pairs.
Il terre au pas courant sang-sus que la rivière.
Il minute le pas et cendre la misère,
au milieu du pourquoi , où la seconde guerre.
Voilà que la dormance, orange un puits de vers.
Il faut vêtir l’humain pour qu’il respire sur l’air.
Une voix sans raison, s’oblige aux libertés
de mettre bat l’ici, pour horloger le vent
la clôture et l’hier, la saison pour semer
le tendre et la dentelle, aux chemins du courant.
atouthasard