Pour.
Tous les gens, peu importe.
Qui placent ou posent
un vers qui
mauxpour l’an-droit fier.
Pour l’an-demain.
Avec un cœur doigté,
par l’existence.
Une dentelle fine.
Un poème lent.
Un écrit tendre.
Une voix l’ouïe.
Une parlure composée.
Une incertaine rime.
Aux ans-corps refusés,
sous un parcours, la mi…
Parce qu’il est survivant.
le texte et le dessin de l’enfant.
Qui est en nous, croisant chemin.
Tel, un rêve de balancelle…
Était-il ou était-elle…
Une signifiante façon
de cueillir, un pas sans l’écho.
D’un pré-vert lycée.
où
L’espace d’un écrit
respire et virgule,
l’intransigeance.
De toutes règles.
Pour
Pour avoir neige au mot de l’an
Il faut rimer l’oiseau moqueur
Sur un la mi-fa sol au vent
Quête la nuit telle une sœur
Ne fait pas l’eau de las de l’an
Une peine était au courant
Q’un feu de bois est en chaleur
Il sera puits et au levant
On pourra nommer le bonheur
Avec un mot qui n’a chagrin
Le vers aidant la solitude
Au parler
toi de tout matin
Quand un croissant lune habitude
À ta journée qui est jardin
Tu meubleras l’incertitude
Tu seras pas et n’auras fin
D’écrire un vers tel un prélude
atouthasard