Si l’ombre de la terre…
Avait des meubles semés.
Une chaise commode.
Un tiroir pour le vers.
Une table habitude.
Un couvert pour aimer.
Une insistance instance
de vouloir éclaircir
le mirage des hommes.
Où le phare de l’habitude
plaine des ovules balnéaires.
et
Le vent de la dentelle où meurent
les enfants de l’an, au couloir sang.
Par-mi, note, portée aux engins
déambulatoires d’ambivalences.
L’insignifiante éducation édulcorée.
Le rapport est porteur
Il est reporté
Par le rapporteur
Faudrait- il avoir lumière
Une lune pairs et des souliers semis
Pour planter la vie
Aux grands pas de l’uni-vers…
Voulions-tu, nos ivoires.
Pour une mémoireMais
Il faut le bois et l’usure parlante.
Signifiante à la parlure de l’ombre.
De faire…
Quand l’onde de la terre pliait une source.
L’eau de la femme et de l’enfanter
ce vouloir incertain, cette incertitude.
Un humain au genre que l’on conjugue.
Au fer
La chaîne de toi et moi .
Maille l’avenir de tisser
Une larme épuisée
Mais, le tenir et le
tiendreEst affaire
De tout celui ou celle qui ombre.
Sa propre voie et son chemin.
Son sentier destin, son enfin.
Les cheveux lents et le mot : lueur
Le vers visage, l’œil en fleur.
Les lèvres sans parlure
qui chuchotent au miroir.
L’incohérente survie de l’imperméable.
Aucune pluie acide.
Juste un gras doigt à la fenêtre.
Pour illuminer l’espoir
Et faire rire l’indice-posable
atouthasard