Le parent-thèse.
Il dit.
Je
moi l’enfant pour être toi.
Je suis d’
avent pour l’hier foi.
On heure la mémoire du gens
Pour lui faire croire que le présent
Avait un avenir pour être amourEt la tendresse en héritage…
Un jeu de dé, vers une rime.
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Le parent-thé
Il dit.
Je
loi l’appartenance du gène.
Il est apprenti au papier vin.
Il surnombre le gris dans ma mémoire.
Il donne des câlins pour alarmer le ciel.
Il nuage son heure pour le faire sien.
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Le parent-tale
Il dit.
Je surmonte les rapports.
Sous mon toit, émoi.
Il
nuit la promesse-cuitée
de son enfant à l’inconduite
indolore.
Et l’enfant écrivait.
La main qui dans tes yeux
Regarde
Le seuil de l’ivre qui l’enfante
Il faut écrire sans pré-poser
Ne pas corriger le Poète
Il fait des vers à les puiser
Il Roi l’enfance aux parents-thèses
Il instruit son couloir sans nom
Il ne peut nommer la couleur
Du peu celui, de l’autre…
Qui le lira peut-être, au lieu des-corps,
quand la pièce de la vie.
Faisait des morts
atouthasard