Sans dire son nom.
Sonnet l'acrosticheSuave aquarelle peinte ici pour l’amante
Aux tons pastel qu’effluvent traits et contours
Nuance du pinceau qui colore au pourtour
S’imaginer peindre là la Belle aimante
D’une lune d’aurore à celle qui enfante
Instruit par ses pairs une fable voile-jour
Raconte au matin la légende troubadour
En quatrain dimanché la rime qui enchante
Sans dire un mot dans la nuit une prière
Oraison un chant qui se puise en rivière
Naissance de l’ange aux ailes de dentelles
Nacrer d’ocre et brocard les lueurs de l’ivresse
Opalise deux songes en alcôve où tendresse
Muse est aubade, narrent les sarcelles
atouthasard