Messages : 1830 Date d'inscription : 06/06/2010 Age : 68 Localisation : Québec
Sujet: Je m’emmerde vous dis-je… Lun 21 Juil - 1:54
Je m’emmerde vous dis-je…
D`être « sustentatoir » À l’adverbe, savoir Le présent compensé N’est pas si singulier Aux pluriels, détresse
Il y a dans l’écu Une vulgarité Et Monnet s’éclaircit En toute volupté On voit bien l’avenir Dans un devoir distant On sait bien se tenir Privé de l’assistant
Et la verve rampante Comme lierre d’antan La moitié dans l’attente Elle cri, je me vole Comme un bouquin lié Un livret sur le sol À cueillir la rosée Un souhait pour la marge
Et si j’avions des elles Pour un lui qui rigole Et si j’avions jarretelle Comme un bas sans luciole
J’alarmerai raison En combattant pensé Étant dans l’horizon Dans mes pas séquencés Un trop thème à l’orteil On dira un bracelet Pour le temps dit passé
Et on fera le guet Sous un lilas secret
Ne faut surtout pas vendre La source du temps Et regretter son âme Sans la pause au bémol
Mais être a pas d’avoir, car il sait qu’on le fuit Un chemin dans le noir avait tant si envie De meubler mon histoire en croisant les parvis Une mémoire et puis un appel pour la vie
Une corde ostensoir pendulait dans ma nuit
Une lune entonnoir si petite à l’ennui Et un sas au pouvoir, relire Gosciny Un sourire sans grimoire il faudrait bien l’écrit Je m’emmerde en saison le labour n’est pas fleur
Mais il y a chansons pour fleurir tous les cœurs
Et Jeanne a son jardin une fleur un refrain Elle cueille un matin en fait un parchemin Était-elle un destin un avenir enfin Une canne d’étain le pommeau dans sa main
Le majeur à l’index faut pas avoir la main Pour décrire son ex, je ne veux plus matin Et si d’août est prétexte à savoir lendemain Je suis où dans mon texte à me voir le chagrin
Plus vieux quand je le dis poursuivant ma raison Sans plume à l’horizon il y a la façon D’encrer un emmerdeur à la une mission Je m’emmerde sciant le tranchant est le son
Le poète à l’an-vers avait tant de jupons L’obsolète pré vert sulpicien d’un juron Et la foi vie que terre avait une tension Mais il n’y a pas clerc dans toutes mes visions
Le savoir, qui d’un mot décrit toute ignorance Le vouloir est propos au dortoir d’assistance La mémoire d’un anneau quand le banc est pudique Blanc se voit dans l’appeau, sonorité ludique
Je m’emmerde à l’endos il est au si tôt gène Il se sert de l’an-clos pour encarter ma laine Vais celle qui à l’eau entame une rengaine Avait-il chapiteaux pour revoir une scène
Je m’emmerde vous dis je à vous savoir en cul Sous la couche d’os zone un père-ver est repu J’emmerde le je puits-je à singe assit poilu Le trouvère qui trône était-il parvenu
Mais au levant mon œil a bien vu que l’enfant N’était pas si en deuil d’enterrer son présent Il emmerdait le champ au pas plus que passant Il savait que son chant emmerderait puisant
Si rêve est cueilli quand la nuit se penche Le temps est suivi de la dame blanche Et le noir ainsi écrira dans l’anse Si peu de la vie juste une romance
Quand il est un conseil de conseiller les gens Était-il dans la rue à cueillir vos mémoires Un souvenir pour l’un l’autre était en devoir Celui le si savant l’emmerdeur de l’avant
Prolétaire au drapeau Victor vu son ego Révolution dans l’âme au cœur fut le pied bot Si je perds ma maison, le gueux prendra le sceau Si peu comme le vœu d’être encore puceau