Sous le vent, au boisé
Étant le plus heureux, en mon chemin de mai
Pour autant que si peu où j’étais initié
Sans être à une lieue de tout ce temps plié
À vouloir être lieu sur l’étang comme geai
Un sentier, un aveu, pour le tendre et le gai
Où nos cœurs tout ce feu, plaine lune posée
Un soleil pour nos yeux et le chant d’une fée
Lendemain que l’on veut recueilli sur ce quai
La présence d’aimer dans la clairière bleue
Deux amants d’amitiés étendus pour l’enjeu
Tout savant d’être mieux, tendresse d’un baiser
Au repli de ce creux tant de blé pour l’hiver
Le présent est ancré, nous étions à semer
Sous le vent au boisé un enfant uni-vers
atouthasard