Pâques lapin en chocolat.
La poule aussi et le canard.
Doux Jésus mais, quel tracas,
coco au lait l’œuf au placard.
Une cachette où mon tiroir.
Que c’est commode et bien utile.
Pour déguster si tard le soir.
Du chocolat sans être habile.
Je vois déjà mes doigts casser.
Un petit coin de son oreille.
Et un énorme bout d’orteil.
Qui à ma bouche ont ce péché…
Je vais devoir me confesser.
Quelle si douce pénitence.
De m’obliger à terminer.
Avant que tout devienne rance.
atouthasard