Y a des gens qui sont,
Morts la-bas.
Tuerie pourquoi
On ne sait pas.
Manchester London trépas.
Y a des gens qui pleurs la-bas.
Y a des visions, horreur,
Pour ces gens la.
Il y a fleur qu’on ne sait pas
Sont-elles fleuries pour être pas
Perdues un soir dans l’infinie.
On dit bien que le paradis
N’a pas de contingence pour ceux
Qui meurt sans être lieu
De ce savoir sans choisir l’an
Pour juste avoir passé le temps
On fait chanson et on est vie.
La vie se trouve à l’an-droit bien
On sait que nous ne somme rien
Mais il y a temps le savoir.
Pas obligé de conjuguer la guerre
Avec des sceau qui servent à rien
Sauf repriser les cœurs blessés
Au loin, je sais larmes brisées
Mais il ne faut pas la juger
Cette terre anglaise reprisée
Nous somme alors devant le sort
De l’humain conjuguant sans l’effort
De faire en sorte que tous les morts
Ne servent en rien les idées-hauts
Sans féminin sans masculin
Juste ce que l’on sait pour être bien
Faire des enfants et rimer beau
Un soir de lune au coin du lieu
Un an-droit phare pour guider la lueur
Celle qui voit les sans aimés
Enfin tendre une main pour les aider
La société, détonateur peu importe
Détonateur donatrices, singulier pluriels
Aux fautes l’arme qui dans cet œil
Ne peut savoir où puiser l’eau.
atouthasard